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Roses are red. [PV L. Freyr] [fini]

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MessageSujet: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptySam 19 Avr 2014 - 11:46


FEAT. Ludwig F. Eberhart
Codage fait par ©PAINDORE sur APPLE SPRING △ RP DUO.


J'ai toujours aimé les fleurs, tout comme Cassandre. J'aime les roses, tout comme Cassandre les aimaient. J'aime les roses comme j'aime mon nom, Rose. Cassandre Rose, une jeune femme belle et intelligente. Morte par amour dans d'atroce souffrance. Souffrance par des vampire, vampire égal pourriture. Pourriture égal déchet. Haine. Paradis brûlé et tâché de sang. Un beau sang rouge, de la couleur des roses autour de moi. J'en tenais une dans ma main, j'avais pris d'enlever toutes les épines. J'aime le rouge, Cassandre aimait le rouge, c'était sa couleur préféré. Moi je n'y voyait que la couleur du sang, elle y voyait la couleur de l'amour. Je voyais en négative, elle en positif. Elle était une douce humaine, aimé de tous. Riche de par sa famille. Je pormenais dans ce jardin d'une beauté exquise. J'avais entendu dire qu'il était entretenu avec soin, c'était vrai. Un viellard en ai le propriétaitre. Avais-jele droit de me promener ici ? Le chemin de terre menait à divers autres roses de toutes le couleurs. J'aime le rouge mais ce n'était pas ma couleur préféré. Rose Noire. Le chemin me conduite devant des roses d'ombres. Ça c'était ma couleur, elles étaient tellement belle. J'en cueille une et enleva aussi les épines. Certaines m'écorchèrent. Les roses sont belles et douce, comme Cassandre. Pleine de vie comme elle. J'étais son contraste. Ses épines. Depuis a mort, mon cœur avait sombré. J'ai ensuite rencontré Amy, une jeune magicienne. M'ayant fait découvrir de nouvelle couleur. Mais ceci n’effaçait pas mon mal.

Récemment je me suis remis à al violence.. si l'on peut dire. J'évitais les conflits sous prétexte que je ne voulais rien savoir. 'était quand j'étais avec ce dragueur appelé Abaddon je ne sais plus quoi. Un vampire, ce que je déteste mais étrangement il.. oh je ne sais pas vraiment. J'ai l'intime conviction que je le reverrais de toute façon. Malgré ce que je cachait en moi, j'étais une fille. Une fille avant d'être vampire, une fille avant d'être demi-dieu. Une princesse attendant un certain prince, au milieu de toutes ses roses. Je voulait mais détestait l'amour. Trop de contradictions me torturaient l'esprit. L'esprit..? Lequel ? Alice me torturait l'esprit plutôt. J'étais une fille oui.. mais malade. Les humains appelle ça de la schizophrénie ou de la bipolarité.

-"je m'ennuie..."

Peut-être que je devrais appelé Amy à venir me rejoindre ici ? Elle était la seule à me rendre un sourire. J'en avais marre d'être ainsi... je voulais sourire, rire mais je n'y arrivais pas. Ou du moins je n'y arriverais pas si je restait dans mon cocon mental. Grâce à Abaddon, je me suis remis en question. Lutter contre ce montre revêtant ma forme, mon moi. Et regarder le monde d'un autre œil. Une légère brise vint à caresser mon visage et joua avec mes cheveux rougeoyants. Je finis d'ôter les épines des deux fleurs de couleurs différentes.

ROSES ARE RED. BLOOD IS...


Dernière édition par Anarchy Rose le Dim 27 Avr 2014 - 23:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptySam 19 Avr 2014 - 18:46

First Fugue

feat. Anarchy Rose


Il en devenait oppressant que de rester de la sorte enfermé chez soi, si on pouvait l’appeler ainsi, car il ne se considérait pas comme chez lui, dans ce petit appart, bien qu’une chambre était réservée à son corps, mais plutôt dans une geôle. Oui, en cage, avec son bourreau de scientifique qui l’avait attaché à un corps un peu trop faible à son goût et surtout trop instable et athé surtout. Difficile d’entrer en communication avec un non-croyant et donc difficile de le manipuler, bien qu’il ne souhaitait pas lui faire de mal en particulier, mais il voulait faire avancer les choses et surtout profiter de la vie. Or, ce n’était pas en restant cloîtrer chez soi, qu’on pouvait estimer que l’on profitait de sa jeunesse. Bien qu’il ait plus de mille ans, notre bon dieu allait lui montrer de quoi il était capable, mais pour cela… il fallait faire le mur.

Quoi de plus simple ? Ouvrir la fenêtre et sauter du haut du troisième étage ? Trop facile. Mais pas dit que le corps résiste une fois en bas. Mais il avait Skrinir, et c’est en laissant des traces de sa descente dans les murs qu’il s’échappa au beau milieu de la journée pour aller flâner bien loin de la ville trop grise et incolore, sans vie, morte malgré les mouvements de ces zombies qu’on appelait toujours humains. Navrant. Leurs costumes représentaient leur propre décès, ils étaient en permanence en deuil. Le dieu avait besoin de se rincer les yeux et voir de la couleur. Rouge. Celle de sa soeur. Peut-être voyait-il en ce pigment un éventuel retour vers la chair de sa chair, sa tendre et bien-aimée soeur ? Aaaah Freya… Il lève le regard au ciel et imagine son visage se dessiner parmi les nuages blancs et rosés. Il sourit et continua son chemin.

Non pas qu’on lui eut parler de ce lieu, non, personne ne lui parlait, à part Takehiro, si on pouvait dire qu’ils se tapaient de bonnes barres de discussion entre eux correspondant aux longs silences lourds de reproches entre ces deux caractères opposés. Ainsi, le scientifique n’avait pu lui révéler l’existence d’un tel lieu de liberté sans risquer de le voir s’échapper aussi sec, justement, il était prévoyant. Mais Freyr avait un instant naturel, celui de chercher la liberté pour profiter de la vie, car telle était sa nature, il était le dieu de la vie, de la fertilité, et ces millions de roses étaient la représentation de ce qu’il était, lui et sa soeur aussi, déesse de l’Amour.

Le doux parfum enivrait ses narines, lui rappelant bon nombre d’aventures au milieu de ce genre de champs où les corps se mêlaient entre eux au milieu des ronces qui les écorchaient. Que de bons souvenirs et de rires. Mais un nuage obscurcit son lieu, et il tourna le regard en direction inverse du souffle, et là-bas, il observa une couleur peu courante de ces fleurs, un pigment artificiel à l’image de l’humanité actuelle, sombre, obscure et complètement artificielle. Il était presque outrée par cette erreur de la nature, et se dirigea vers elles, jusqu’à découvrir une silhouette qui retint davantage son attention, une jeune femme dont les courbes lui rappelaient quelqu’un…

Il s’approcha lentement, regardant avec dégoût ces roses comme s’il avait peur de se salir avec, sentant que les épines s’accrochaient à son pantalon, maléfiques. Mais plus il s’avançait plus son oeil fixait le femme et le sourire ne le quittait plus lorsque des mots d’une voix douce et tendre franchirent ses lèvres, comme une ôde...

« Rose divine, trésor ineffable. Mon coeur ravi d'amour palpite comme les ailes d'une colombe et laisse monter vers toi sa flamme ardente que ton esprit attise chaque jour. Comme une fleur dans un jardin, je veux dormir dans tes bras luisant de douceur et lire sur tes lèvres ces mots qui donnent la vie et la force pour lutter jusqu'à ton retour. »


Il était maintenant à proximité, à environ un mètre d’elle, pour pouvoir la contempler de haut en bas, décrire chacune de ses courbes avec son regard, sans gêne, se délectant de sa grâce naturelle. Et suite à son poème, il enchaîne :

« Freyr, à votre service, gente demoiselle des roses. La source de votre ennui serait-elle la même que la mienne ? Peut-être pourrions-nous trouver un compromis afin de régler ce souci, si le coeur vous en dit ? »


Un sourire charmeur sur les lèvres, il avait abandonné sa haine du tapis qui l’agrippait, il n’était préoccupé que par cette charmante femme aux traits si proche de sa divine soeur.
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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyDim 20 Avr 2014 - 10:45


FEAT. Ludwig F. Eberhart
Codage fait par ©PAINDORE sur APPLE SPRING △ RP DUO.


Durant les 229 années passés dans ce monde, je n'ai jamais croisé un seul dieu. Enfin je pense. En même temps j'avais décidé d'être insociable envers tout le monde. Insociable depuis la mort de ma tendre "mère". Je voyais la vie comme un jeu ennuyant. Un jeu que l'on peut appeler "Survival Game". Une histoire chacun peut écrire et continuer lui même en faisant les bons choix. Parmi ce champs de roses noires, si on peut l'appeler ici, on pourrais me repérer comme une tache rouge et blanche. Mes cheveux et ma robe blanche, simple. L'une des robes favorites de Cassandre. En sa mémoire je fais beaucoup de choses. Aujourd'hui était l'anniversaire du jour de sa mort. Je devais sourire pour elle. Je ne crois pas au bon jésus, je suis encore même sceptique pour ce qui est des dieux. Fille d'Hadès mon cul ouais...! Mais si les vampire existent, pourquoi pas... Amy sut mettre un terme à cette vie ennuyante.. malheureusement pas entièrement. Je suis las. Une vie longue pour une vampire, non, une sang-mêlé plutôt. Une douce voix masculine me sortie des cette torpeur. Je n'avais même pas remarqué sa présence. Un bel inconnu s'approcha de moi et me parlait avec de beaux mots, tel un poète. Sa nature...? Étrange. Ce n'était pas un vampire... ni un simple humain... j'étais méfiante certes mais sa présence était très agréable, drôle de sensation. Je riva mes yeux vers lui, le vent se leva un peu plus laissant se mêlé les pétales aux nombreuses couleurs. Beau tableau n'est-ce pas ?

-"Rose divine, trésor ineffable. Mon cœur ravi d'amour palpite comme les ailes d'une colombe et laisse monter vers toi sa flamme ardente que ton esprit attise chaque jour. Comme une fleur dans un jardin, je veux dormir dans tes bras luisant de douceur et lire sur tes lèvres ces mots qui donnent la vie et la force pour lutter jusqu'à ton retour."

Je lui souris, un peu gênée mais enchantée par ses paroles. Voilà au moins quelqu'un de différents des autres, différents de l'autre idiot de vampire. Une délicatesse nullement vu au par ailleurs. Cassandre serait immédiatement tombé sous le charme si... hm. Je serra un peu plus fleurs contre ma poitrine.

-"Freyr, à votre service, gente demoiselle des roses. La source de votre ennui serait-elle la même que la mienne ? Peut-être pourrions-nous trouver un compromis afin de régler ce souci, si le coeur vous en dit ?"

-"Oh et bien.. enchantée. Je suis Anarchy et... si vous me le demander aussi gentiment j'accepte alors !"

Très élégant, charmant, je ne me doutais pas du tout de ce qu'il était réellement. Et son sourire provoquait le mien. Sur le coup j'avais un peu honte de mon prénom.. oh et puis non ! Savait-il ce que j'étais ? Peut-être me faisait des idées, il n'était simplement qu'un humain.. Je ne sais pas. Je n'osa même pas tenter RadioPeople, ça ne se fait pas d'épier les pensées d"autrui et il n'avais pas l'air méchant. Mais je devais rester méfiante. Je ne dois pas briser ma promesse. La promesse à moi même.

-"Alors.. Freyr, que faites-vous par ici ? Vous venez également admirer les fleurs ?"


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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyDim 20 Avr 2014 - 15:10

First Meeting

feat. Anarchy Rose


Il ne décrocha pas son sourire, ravi que la réponse fusse postive. Elle n’était pas une effarouchée, comme il avait rencontrées, qui se dévêtaient, mais qui ne se laissaient pas charmer ou attendrir par son aura zen. Ce monde avait bien changé, et il s’était demandé si c’était à cause de cela que son pouvoir ne fonctionnait plus, ou bien que le fait qu’il se retrouve dans un autre corps amenuisait ses dons. Mais face à elle, ça semblait fonctionner, ou bien elle acceptait tout simplement son invitation sans avoir besoin d’être touchée par l’aura. Ce n’en était que mieux pour lui, car même sans Zen, il avait un charme redoutable, à l’époque, et il avait crainte qu’avec ce corps, ça ne marche pas aussi bien qu’avant. Mais Ludwig était un beau garçon, il ne fallait pas le contester, un peu mou, mais une belle gueule et de quoi chevaucher convenablement, les principaux atouts, si on omettait son caractère asocial et froussard.

« Anarchy, un bien joli prénom démontrant une force de caractère étonnante, à l’image de ces fleurs, belle mais piquante. Revêtez-vous une image de grâce pour mieux empoisonner vos victimes ? C’en est excitant... »


Un sourire, un rire flûté, il s’agissait de compliments. Les femmes aimaient qu’on leur dise qu’elles étaient belles, mais qu’elles n’étaient pas faibles. Telles des veuves noires, elle savaient se défendre à leur façon. Pourtant qui des deux étaient en train de prendre l’autre à son jeu ? Dans cette lutte de domination, les hommes gagnaient ou laissaient gagner, mais jamais ne perdaient, c’était indéniable. L’orgueil était la priorité et laisser gagner pouvait ouvrir de bien meilleures portes qu’une victoire directe.

Mais elle était délicieuse et ce visage lui rappelait bien sa soeur, bien qu’il savait qu’il ne se comporterait jamais de la sorte avec elle, jamais car elle le savait elle aussi comment Freyr était. C’était sa nature et seules les âmes ignorantes se laissaient berner. Ce n’était pas un mensonge, il était vrai, tout ce qu’il y a de plus vrai, il ne fait pas de fausses promesses, il n’en fait pas tout simplement, mais il s’approprie les choses, avant de les abandonner lorsqu’elles ont trop d’espoir. Il n’était pas dieu à appartenir à qui que ce soit. C’était pour cela que sa soeur était la seule à ce jour, l’unique, vers qui il revenait, car leur lien était indestructible et ils étaient semblables.

Aussi, cette nostalgie l’envahissait d’autant plus lorsqu’elle voulut connaître les raisons de sa venue ici. Il perdit son sourire laissant le vent flirter avec ses cheveux d’un blanc trop pur, et son regard se noya dans le vague, tandis qu’il répondit d’une voix absente :

«La mélancolie me pousse à cueillir les fleurs du passé.»


Il montra du regard les roses rouges un peu plus loin et continua :

« Celles-ci sont le symbole d’un amour éternel, un jour elle reviendra ici, alors je l’attends, je ne peux rien faire de plus. Mais je sens son parfum, elle reviendra, j’en suis sûr... »


Il en était certain, un tel jardin, même s’ils étaient né dans la région du Nord, ils se donneraient rendez-vous ici, lorsqu’elle aura retrouvé la liberté, tout comme lui. Il ne savait pas ce qu’elle était devenu, mais depuis le Ragnarök, ils ne s’étaient pas revu. Il savait qu’elle était en vie quelque part. Mais avait-elle été enfermée dans un statuette aussi pour se ressourcer et reprendre vie ?

Il se laissa tomber dans les roses, soudainement las, ou plutôt parce qu’il savait qu’ils allaient rester ici un moment, pour discuter, faire connaissance se mettant à son aise, et la regarda d’en bas, en l’invitant à en faire de même.

« Et vous ? Vous n’êtes pas venu dans l’espoir de rencontrer un beau prince charmant qui passait par là, j’imagine ? »


Il éclata de rire, détendant l’atmosphère.
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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyDim 20 Avr 2014 - 17:19


FEAT. Ludwig F. Eberhart
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Freyr était gentil, agréable courtois.. trop courtois. Bien que j’apprécie sa douceur, je ne pourrais pas la supporter plus longtemps. Sa gentillesse en deviendrait mielleuse. Il parlait comme s'il venait d'un autre monde, ou de plus loin dans le temps.

-"Anarchy, un bien joli prénom démontrant une force de caractère étonnante, à l’image de ces fleurs, belle mais piquante. Revêtez-vous une image de grâce pour mieux empoisonner vos victimes ? C’en est excitant... "

déchet.

Encore... Cette voix dans ma tête. Alice n'avait pas l'air d'aimer le jeune Freyr... Ces temps-ci elle était plutôt instable, elle commentait parfois chacun de mes faits et gestes, apparaissait souvent dans mes rêves ou mes cauchemars. Ou dans les miroirs. Bien sur je suis la seule à la voir. Personne n'est au courant de ceci, pas même Amy. Plus Alice me parlait plus je me sentais faiblir, comme si, telle une succube, elle aspirait mon énergie. Voilà pourquoi qu'avez mes bons pouvoirs, je ne peux malheureusement pas les utiliser souvent. Alice le sait bien, elle en joue. Si elle n'était pas là je serais puissante.. je pense.

-"C'est gentil mais je ne suis pas un dieu, mais une sang-mêlée, fille de dieu... à ce qu'il parait. Alors je n'ai pas la capacité de duper mes "victimes."

Voilà que je m'étais un peu dévoilé pour lui. Ça n'avais aucune importance, même avec ce genre d'information, que ferait-il ? Sauf s'il hait les vampires. Ca me rendrait service si on me tuais... non. Je devais arrêter de penser comme ça.

-"La mélancolie me pousse à cueillir les fleurs du passé."

Que devais-je comprendre à cette phrase ? Il était malheureux ? C'"tait la seule conclusion à laquelle je pensais sur le moment. Du passé ? Mh... oui mais ce passé était peut-être plus loin que je l'imaginais. Il se laissa tomber en arrière, soudainement, sans que je m'y attende. J'ouvris la bouche puis la referma aussitôt.

-"Et vous ? Vous n’êtes pas venu dans l’espoir de rencontrer un beau prince charmant qui passait par là, j’imagine ? "

-"Heh... Freyr... vous allez vous blesser, comme vous l'avez dit les roses ont des épines."

Il ria, je ne pu m'empêcher de sourire, on aurait dit un enfant. Je m'accroupis devant lui en croisant les bras sur mes genoux. Je pris la précaution de serrer mes jambes l'une contre l'autre, j'étais en robe !

-"Et puis je ne crois ps au prince charmant. Les hommes sont... Je ne les aimes pas, je ne leur fait pas vraiment confiance. J'aime juste cette endroit, je l'adore."

Toutjours dans la même position je leva ma tête au ciel en arrachant les pétales de la fleur rouge, une à une.

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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyDim 20 Avr 2014 - 23:22

Melancholia

feat. Anarchy Rose


La surprise illumine son visage, sans perdre son sourire. Quelle étrange révélation qu’elle lui fait, là, la fille d’un dieu ?! Mais de qui donc s’agissait-il ? L’éclat de ses yeux dorés brille d’un ouvel éclat, mais il ne l’interroge pas plus que cela, préférant essayer de découvrir par lui-même le mystérieux parent qui était son collègue. Et lui, devait-il révéler qu’il était un dieu ? A moins qu’elle ne l’ai déjà deviné, ce ne serait pas étonnant, sinon elle ne se serait pas risquer à dévoiler une telle chose. D’ailleurs, il ne l’avait pas senti, est-ce que ça venait du fait qu’elle soit une fille mêlée ? A quoi était-elle mêlée ? Cette fille recelait plein de mystères, il voulait découvrir qui elle était, ce serait un jeu, lent et long…

Le rappel oral des fleurs qui se défendent avec leurs épines ne valaient pas la douleur physique qui lui labourait l’arrière-train, mais cela restait de l’ordre du détail, et après avoir dégagé celles qui s’étaient bien plantés dans son royal fessier, il enchaînait les questions dont les réponses lui rendirent le sourire :

« Désillusions retrouvés dans ce jardin. C’est vrai qu’il est magnifique. Je ne l’avais jamais vu avant. »


Il tourna le regard pour le perdre dans la contemplation des multiples couleurs. Il poussa un profond soupir pour ne pas s’abandonner aux souvenirs avant de revenir sur le sujet qui le torturait à ce moment, et l’observa de nouveau :

« Alors, fille d’un dieu ? De qui donc s’agit-il ? Peut-être que je le connais ... »


Ou comment avouer indirectement qu’il en était un aussi...


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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyLun 21 Avr 2014 - 13:50


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-"Désillusions retrouvés dans ce jardin. C’est vrai qu’il est magnifique. Je ne l’avais jamais vu avant."

Jamais ? Pourtant cet endroit est réputé pour être le plus jardin jamais vu ! Une beauté à couper le souffle, des couleurs ravivant notre humeur. Bien sur il y a aussi des voyous qui s'y ballade mais j'ai entendu dire que la zone était sécurisé par des gars ou je ne sais quoi, enfin c'est-ce qui se dit. je n'en ai jamais vu sinon. Et puis.. est-ce que ces humains pourrait réussir à défendre le mal ? je ne pense pas. La police actuel c'est plutôt les chasseurs je pense. Si je n'étais pas née vampire, j'aurais choisie d'être une chasseuse. J'aurais joué le rôle de la police.

-"Alors, fille d’un dieu ? De qui donc s’agit-il ? Peut-être que je le connais ... "

-"Ouais mais je sais pas si c'est vrai 'fin si.. enfin... de ce que je sais ce serait Hadès."

Je lâcha le rose rouge sans pétales... enfin ce qui restait ! J'étais plutôt niaise dans mon genre, je n'arrivais toujours pas à identifier cette aura que je n'avais jamais sentit auparavant. Je n'arrivais même pas à définir son degré en plus. Pas comme Abaddon qui l'expose ouvertement ou comme Logan. Celle-ci.. c'est comme si elle était là sans l'être. Oui c'est bizarre. Bah.. ce n'était surement qu'un tout petit détail ! Je porta la rose noire à mes lèvres et pince une pétale avec celles-ci, du bout de mes lèvres.

-"Vous n'êtes pas d'ici ? Personnellement je viens de Kalel mais je connaissais déjà ce magnifique jardin."

Cet air qui embaumait les environs.. je ne m'en lasserai jamais ! Je me rappelle que la première fois où je m'étais rendu.. c'était il y a trèèèèèèèèèèès longtemps, avec Cassandre ! L'odeur était puissante car je n'y ait pas habitué, ça m'avais étourdie. Mais une fois habitué on peut en profiter pleinement. J'arrache la pétale noire qui était entre mes lèvres puis la laisse virevolter au gré de cette brise douce.

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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyLun 21 Avr 2014 - 19:46

Snow flower

feat. Anarchy Rose


Hadès, un nom qui lui effleura l’esprit, il resta pensif, les yeux rivé vers le ciel comme s’il était en train de réfléchir, jusqu’à ce qui les tournent vers elle avec un splendide sourire innocent, signalant sa pure ignorance :

« Ah, non ça me dit rien. »


On avait beau être dieu, on ne connaissait pas forcément tout le monde. Il y en avait tant… Et puis, lui, tout ce qui l’intéressait, c’était sa soeur, après tout. Mais il connaissait tout ceux de la région du Nord, puisqu’il en était le chef, et allié de l’autre clan, ami de Thör, bien qu’ils ne se côtoyaient que trop rarement, en plus d’avoir des principes quasiment opposés. Enfin, pas opposés, mais clairement différents. Il haussa les épaules et observa la rose tomber lentement au sol, en douceur, se faisant avalé par ses soeurs d’une noirceur artificielle. Cela donnait une personnification de la vie bien trop pessimiste à son goût.

« Je viens de Fröenbourg, mais cela fait peu de temps que je me suis réveillé, et tant de choses ont changé depuis le temps. Mais je ne crois pas être déjà venu par ici, avant. Mais, je sens que c’est un lieu… qui a un lien avec nous… Ma soeur et moi… »


Il cueillit une des roses noires, lui qui détestait tuer une fleur de cette façon, pour celle-ci, il ne montra pas particulièrement de pitié, à ces fleurs qui ne devrait pas exister, mais elles lui en montrait rancoeur, car une épine transperça sa peau, lui rappelant sa condition humaine. Curieux, il aperçut le liquide carmin coulé sur son doigt et, abandonnant la rose au sol, il suça la plaie, tout en interrogeant :

« Vous doutez ? Je veux dire, de votre père ? Vous ne l’avez pas connu ? Ou bien, c’est votre mère qui vous a raconté ? Qui est votre mère ? »


Beaucoup de questions pour assouvir une curiosité débordante. Freyr était vraiment intéressée par cette demoiselle, elle était mignonne, candide, fraîche. depuis combien de temps n’avait-il pas été en contact avec une personne comme elle. Il avait envie d’en profiter un peu…

Approchant sa main de la joue de la jeune femme, il la regarda avec des yeux intenses, envoûtants, laissant agir l’aura Zen, pour la détendre. Il faisait des gestes lents et il prit une voix douce en pinçant doucement l’insecte qui avait élu domicile dans sa chevelure :

« Permettez ? Il semblerait qu’une coccinelle vous ait pris pour une rose... »


Il sourit et montra dans sa main l’insecte aux quatre points noirs sur le dos qui s’envola presque aussitôt, emporté par le vent. Il baissa le regard et avoua sur un ton gêné - était-ce un masque ? - fuyant le regard, la main devant les lèvres :

« Vous savez… Je crois que… vous me perturbez… Vous me rappelez quelqu’un… »


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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyLun 21 Avr 2014 - 21:19


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Freyr n'avais pas l'air de savoir qui était Hadès. J'étais plutôt surprise à vrai dire. Car c'est un dieu plutôt connu. Dieu des enfers ou quelque chose comme ça non ? Oh je ne sais plus trop et je m'en tamponne royalement. Il leva la tête au ciel, comme s'il cherchait quel visage il pouvait coller ce nom. Il dirigea de nouveau ses yeux vers moi, en souriant.

-"Je viens de Fröenbourg, mais cela fait peu de temps que je me suis réveillé, et tant de choses ont changé depuis le temps. Mais je ne crois pas être déjà venu par ici, avant. Mais, je sens que c’est un lieu… qui a un lien avec nous… Ma sœur et moi…"

Réveillé..? je doutais de plus en plus... non serait-ce.. un dieu ? Je ne veux pas faire de conclusion attive mais.. le fait qu'il est dit puis son aura qui ne me disait rien... j'attendais d'avoir plus de preuve pour ça. Il évoqua aussi sa sœur... que ce lieu l'avait attirer pour faire bref. Une sœur perdue ? Triste... Il pris délicatement une rose noire, mais ce dernier se piqua. Il n'avait pas l'habitude des roses on dirait. Il porta la blessure à sa bouche puis continua.

-"Vous doutez ? Je veux dire, de votre père ? Vous ne l’avez pas connu ? Ou bien, c’est votre mère qui vous a raconté ? Qui est votre mère ? "


-"Hm.. que puis-je vous dire de plus ? Je ne l'ai jamais connu et ça ne me dérage pas. Je me sens comme une enfant non désirée, je n'aurais.. pas du naitre. Pas du exister. Un erreur, rien de plus. Ma mère ? Elle m'a abandonnée. Tout ce que je sais c'est qu'elle s'appelle Cordelia. Je n'ai pas de parents.. la seule que j'ai eu est celle qui m'avais recueilli."

A ces mots, mon regard se perdit dans la couleur noire de la rose, puis elle commença à bruler, se consuma lentement. Je brulait ma fleur préféré. Ne t'en fais pas petite fleur... je saurais me faire pardonner. Quand j'évoque mon passé.. je m'y perd un peu et deviens moins souriante. Avant Amy... je cherchais la personne qui aurait pu me délivrer. Me libérer de cette longue vie monotone, et d'Alice surtout.

Le jeune homme vint à approcher sa main près de mon visage, je fus surprise, très surprise. Pourtant ses intentions n'avait pu tout l'air mauvaises, et ce n'était pas ce à quoi je pensais. En effet il m'enleva une coccinelle de mes cheveux. La coquine ! Je souris en la regardant. Elle m'avais pris pour une rose ? Ses mots me vinrent droit au cœur... c'était vraiment gentil. Ma tension retomba, enfin le négatif de la conversation précédente. Nous avions changé de sujet. J'étais plus apaiser et souriait comme une lady de mon age doit faire.

-"Vous savez… Je crois que… vous me perturbez… Vous me rappelez quelqu’un…"

-".. oh.. qui donc ? Et bien excusez-moi haha"

Je m'excusais sans savoir pourquoi mais il avait l'air gênée.

tire toi.

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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyMar 22 Avr 2014 - 10:26

Confessions

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Ses aveux lui firent baisser la tête, peut-être de compassion, il ne savait pas trop. Etant dieu, il ne connaissait pas tellement ce qu’était l’ambiance familiale, en dehors de sa relation toute particulière d’avace sa soeur, mais cela, c’était parce qu’ils étaient complémentaires et n’étaient rien l’un sans l’autre. Sa mère ? Son père ? Il n’y avait pas vraiment d’importance, ils étaient comme des dieux, et n’avaient pas reçu l’amour dû à ce rang, puisqu’ils étaient la personnification de ce sentiment. Mais la métaphore n’était qu’une image qui ne ressentait pas, seulement faisait ressentir. Il n’y eut qu’avec Ludwig qu’il put approcher ce qu’était l’amour d’un enfant pour sa mère… L’attachement… Il connaissait seulement avec sa jumelle.

Freyr ne dit rien, il se souvenait de la douleur qu’avait pu ressentir Ludwig lorsqu’il découvrit le corps éteint de sa mère, et il se demandait si c’était ce que ressentait Anarchy, à ce moment, le regard perdu, les souvenirs affluent dans son cerveau, il le sentait et il aurait voulu faire quelque chose, la prendre dans ses bras pour la consoler, d’un geste amical, peut-être amoureux, car il était dieu de l’amour, il ne savait pas faire autrement et il savait que c’était ce que désirait les gens. Mais une femme était distante, et ne se laissait pas approcher facilement, s’il allait brusquement, elle s’enfuirait comme une biche qui ne voulait pas se faire attraper par le chasseur. Il fallait feinter.

Il tenta, une approche avec un simple geste innocent, qui décrocha un sourire, une petite phrase anodine, un comportement adéquate, et il lui rendit ce sourire charmeur. Il laissa son regard ambré se perdre dans l’ombre des roses, comme s’il se remémorait les souvenirs fort lointain, et son visage se para d’un aura mystérieuse, sa voix articula :

« La seule personne que je n’ai jamais aimé, vous ne possédez pas son aura divine, mais vous avez ce petit quelque chose de particulier… Vous êtes troublante, en réalité. Permettez que j’en apprenne plus sur vous …? »


Une voix doucereuse, envoûtante, arriverait-il à l’enfermer dans son piège ? Douce Anarchy, vous lui plaisez, et que ce champ de rose soit le témoin et le lit supportant deux âmes qui peuvent se lier pour un instant ? Un soulagement dans ce monde cruel, une compensation à la dure réalité, un moment de chaleur au milieu de ces nuages si froids qui annoncent une pluie de Mai. Le vent souffle encore et ses yeux la fixent plein de désirs, ils s’approchent et tentent un autre genre de contact. Rejet ou approbation ?


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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyMer 23 Avr 2014 - 19:46


FEAT. Ludwig F. Eberhart
Codage fait par ©PAINDORE sur APPLE SPRING △ RP DUO.


J'étais de plus en plus intrigué par cet individu... il était mystérieux et amicale. J'avais déjà vu ça quelque part... Cassandre aimait ce genre d'homme, elle fondrait pour n'importe qui, s'attache et s'abandonne au premier beau parleur venu. Son désir de donner l'a consumé, son désir de recevoir s'oublia. C'est la seule chose que je n'aimais pas, elle souffrais en silence. Se torturait l'esprit pour des futilité appelé "amour". Bien qu'elle ai déjà rejeter des invitations tout de même... Mais les hommes était doué, injectant leur venin infernal. Voilà une des raisons qui me dégoute des hommes.

Freyr semblait être différent, "semblait". Mais je ne le connaissais et par ceci je ne pouvais pas faire confiance. C'était dans mon tempérament. là dessus, Cassandre et moi étions différente, seulement sur ça. C'est bien simple, tout les hommes qu'elle a pu aimer je ne pouvais pas les blairer et tentais de les faire déguerpir, comme une sale morveuse !

-" La seule personne que je n’ai jamais aimé, vous ne possédez pas son aura divine, mais vous avez ce petit quelque chose de particulier… Vous êtes troublante, en réalité. Permettez que j’en apprenne plus sur vous …? "

Son aura divine ? Ce devait être une personne importante pour ne parler ainsi. Je suis troublante... n’était-ce pas aussi Logan qui m'avait dit ça ? D'ailleurs je me demande s'il va bien... il était gentil et était un des seul vampire ancestral que j'appréciais. Mais là aussi, je ne le connaissais pas vraiment. En apprendre plus sur moi ? Je suis une personne vide, ennuyante et grincheuse, enchantée ! Au moment où j'allais répondre, il s'approcha de moi, doucement. Il me fallu quelque seconde pour comprendre ce qu'il alait se passé j’écarquillai les yeux, surprise. Mes yeux redevinrent ensuite sérieux, je plaça mon index de la main droite sur ses lèvres, de ma main gauche j'avais pu dégainer rapidement ma faux noire. La lame circulaire l'entourait. Le doigt était là comme pour lui dire non, et ma faux insistait. Confiance perdue.

-"Au final vous n'êtes pas différents..."

Je te l'avais dis.. laisse moi le découper !

Je dématérialisa mon arme et posa ma main sur son torse pour le reculer, le regardant d'un air sérieux. Notre conversation était terminée, probablement. Qui était-il réellement ? Ma garde avait bien baissé en tout cas.

ROSES ARE RED. BLOOD IS...
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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyVen 25 Avr 2014 - 9:49

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Un refus. Un râteau. Le dieu Freyr qui se voit refuser son offrande. C’est un comble. Il sent sur ses lèvres la marque de refus qui le stoppe net dans son geste, et ressent la menace autour de son cou, tandis qu’Anarchy lui exprime sa désapprobation dans une comparaison étonnante. Mais il sourit, un peu décontenancé, mais un sourire étire ses lèvres et il lui répond.

« Différent de ? Je suis unique, Mademoiselle, et il n’est de comparaison viable avec autrui, puisque je suis le dieu Freyr. »


Les femmes humaines étaient trop frigides, elles ne se laissaient plus vivre, et il le regrettait. Se faisant repousser, il se leva, détournant le regard un peu déçu, les yeux dans le vague. Il pose sa main sur ses lèvres d’un air pensif et fait comme des aveux :

« Pardonnez-moi, mon emportement… Comme je vous l’ai dit… J’ai été troublé. Depuis peu que je me suis éveillé, je ne retrouve pas de repères, tout a tant changé... »


Il conclue que la discussion était désormais achevée. Au fond de lui, il bouillonait, mais pour le cop, il prit exemple sur le comportement de Ludwig qui s’excusait à tout bout de champ sans raison, mais qui lui accordait une autre forme d’attention bien plus attachante. Mais faut-il que cela fonctionne aussi chez le dieu de la séduction qui n’avait jamais eu besoin de se rabaisser de la sorte pour attraper une proie. Mais c’était quitte ou double encore…

Il lui tendit une main pour l’aider à se relever, et se gratta l’arrière de la tête d’un air gêné, comme s’il ne savait plus où se mettre, et déclara en balbutiant innocemment :

« Je suis désolé de vous avoir importunée… Je crois que… je vais vous laisser. Mais… Si jamais nous nous revoyons, j’espère que… cette page sera tournée sur mon erreur. »


Il fit une courbette respectueuse avant de s’en retourner vers d’autres aventures. Frustré et conscient qu’elle ne sera pas prête aujourd’hui, peut-être qu’à leur prochaine rencontre, il arrivera à faire un pas de plus…


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MessageSujet: Re: Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] Roses are red. [PV L. Freyr] [fini] EmptyDim 27 Avr 2014 - 23:10


FEAT. Ludwig F. Eberhart
Codage fait par ©PAINDORE sur APPLE SPRING △ RP DUO.


La vie est un jeu qu’on ne peut se contenter de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est lancée dès notre naissance, qu’on le veuille ou non. Alors on discute avec l’arbitre, on change les règles, on triche un peu. Parfois, on fait une pause pour panser nos plaies. Mais, toujours le jeu reprend. On joue, on joue vite et librement. Parfois on joue même comme s’il n’y avait pas de lendemain. L’important n’est pas de gagner ou de perdre, l’important c’est la manière dont on joue. Ne pensez-vous pas ? Après tout la vie est faite de choix : Oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Certains comptent peut être un peu plus que d’autres : Être un héros ou un lâche. Se battre ou se rendre. Vivre ou mourir. Ce dernier est surement le plus décisif, mais la décision nous appartient rarement malheureusement.  Une chance dans un monde dont on ne connaît rien à part ce qu’on en dit dans les contes et la encore, les récits sont bien terne face à la réalité. Les contes sont souvent si merveilleux, emplissant tout notre être de bonheur et de chaleur, passant tel un baume sur notre cœur.

-"Différent de ? Je suis unique, Mademoiselle, et il n’est de comparaison viable avec autrui, puisque je suis le dieu Freyr. "

Le dieu Freyr ? Malheureusement je ne connais pas, ni d’Eve ni d’Adam, un dieu de ce nom. J’eus un pincement au cœur et une certaine honte de ne point le savoir. J'arque mes sourcils un peu tristement. Alors tout s'explique, cette étrange aura si agréable.. mon père avait-elle la même aura divine ...? Étrangement.. j'aurais aimé le voir ici même, maintenant. Mais je me concentra sur la personne situé devant moi. En effet, il était unique... mais son caractère ne différait pas de certaines personnes.. bien que son aura me laissait bien croire qu'il n'étais pas si mauvais. J'aurais voulu en savoir plus...

Freyr poursuit en me demandant pardon, qu'il avait perdu ses repères depuis son repère et qu'il avait été troublé... que dire à ça ? M'excuser ou lui dire que ce n'étais pas une raison ? Alice lui aurait ricané au nez, c'est sur ! Il me regarde et me tend la main, pour me relevé, il continua de pus belle:

-" Je suis désolé de vous avoir importunée… Je crois que… je vais vous laisser. Mais… Si jamais nous nous revoyons, j’espère que… cette page sera tournée sur mon erreur. "

Je répond à son sourire comme pour dire que ce n'était pas grave, du moment que je ne sois pas forcée ni violée... Mais je suis têtue, très bornée alors ce sera difficile de me faire craquer... voir jamais je dirais. Jamais je ne me laisserai faire...

-"A bientot.. Freyr !"

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