Comment définir Bertram ? Commençons par ce qui crève les yeux, il est dépressif mais résilient. Ca se voit, il est loin d'être un rayon de soleil. Pessimiste et défaitiste, il est rare de le voir sourire ou même rigoler. Ca se voit dans ses cernes et dans ses soupirs : il ne respire pas vraiment la joie de vivre. Sa sensibilité lui cause des problèmes : la moindre contrariété peut le replonger dans la mélancolie. Et pourtant, Bertram est toujours là. Parfois il relève la tête, il passe par dessus son existence triste et misérable et il avance, comme toujours. La vie continue quoi. En général il se ressource en écoutant de la musique ou en lisant des livres. Nerveux : Ca aussi ça se remarque assez bien. Bertram est constamment stressé. Il ne faut pas arriver en retard. Il ne faut pas faire de connerie avec les patients...Mais si ce n'était que le travail ! Les interactions sociales avec les autres sont également une source d'anxiété. Surtout pour les inconnus et les collègues. Comment se comporter, comment réagir ? Et cette fille qui te plaît, qu'est ce que tu devrais lui dire ? Il ne sait pas, il stresse, il bredouille, il s'emmêle les pinceaux. Pour des conneries parfois. Genre : est-ce que t'as pas oublié d'éteindre le gaz en partant ? Ca va le hanter toute la journée. Et du coup, ça le rendra irritable, voire même vaguement désagréable parfois. Mature et responsable : Parfois on ne dirait pas que Bertram n'a que 25 ans. Parfois on a l'impression qu'il porte le monde sur ses épaules et qu'il a la sagesse d'un centenaire. C'est aussi le genre de mec sur qui on peut compter, quand on lui confie une tâche, il assume, il ne va pas se débiner, ni se chercher des excuses. Non, monsieur est un adulte et il prend toujours tout très au sérieux. Ca se voit clairement qu'il manque de confiance en lui à la façon dont il garde la tête et les yeux baissés.  Quand il doit prendre une décision, il hésite, il n'ose pas. Il se pense toujours plus faible et moins capable qu'il ne l'est. Si vous le complimentez, il n'y croira pas: c'est forcément de la politesse...Oui, il est bien convaincu de son absence de valeur. Par conséquent, Bertram parle rarement de lui ( pourquoi ça intéresserait quelqu'un ?). En revanche, il ne voit aucun intérêt à mentir, tant que cela ne met pas quelqu'un d'autre en danger. D'ailleurs quand le mensonge n'est pas préparé, il ment très mal c'en est presque affligeant. Loyal, Bertram honore toujours ses promesses, il ne tournera jamais le dos à sa famille ou à ses amis, peu importe les sacrifices que cela demande et peu importe à quel point il peut trouver cela répugnant. On peut dire qu'il a le sens du devoir. Obéissant et docile, il a tendance à éviter les conflits en cédant aux requêtes de son interlocuteur. Si on peut le comparer à une brave petit mouton, mais évitez de trop en profiter, il finirait par se rebeller ou simplement péter un câble. Effectivement, pour être infirmier, il fallait qu'il soit un peu altruiste ( vous savez laver des vieux et des malades toute la journée, ça demande pas mal de sacrifice et d'abnégation). Le jeune homme est du genre à tendre la main à ceux dans le besoin, à filer un sandwich au clochard du coin et à adopter tous les chatons abandonnés du quartier parce que ça lui fait mal au coeur.

  Biographie

   Je me souviens.

Quand j'étais gamin à l'orphelinat, il y avait une extinction des feux. Nous étions tous rangés sagement dans nos lits, bien bordés, quand le surveillant passait dans les chambres pour vérifier que tout allait bien. Alors, il se plaçait sur le seuil et éteignait la lumière. Pendant un bref instant, il ne restait que ce faisceau lumineux qui se réduisait inexorablement au moment où il fermait la porte. Je le fixais, les yeux grands ouverts, se réduire jusqu'à ne laisser qu'un mince filet de lumière sous la porte. Jusqu'à ce que quelque part, le surveillant éteigne la lumière du couloir.

Et l'obscurité tombait sur moi comme une enclume.

J'imaginais le pire. J'avais envie de hurler. Alors je fermais les yeux, terrorisé, essayant vainement d'ignorer les monstres qui tourmentaient mon imagination fertile et je mordais le tissu de ma taie d'oreiller.

Mais ça c'était avant.

***

Je m'appelle Bertram Lucian Blackwood. Enfin, c'est le nom que l'on m'a donné. Je ne me souviens plus de l'autre…

Je suis né le 17 octobre à Froënbourg. J'avais deux ans et demi quand mes parents m'ont abandonnés. Ou bien ont-ils disparus ? On ne m'a jamais rien dit à ce sujet. En tout cas il n'étaient pas là pour moi. Alors, j'ai été envoyé à l'orphelinat. J'aurai pu être adopté assez facilement, si j'avais été plus jeune ou si j'avais l'air un peu plus...normal.

Et pourtant un jour, ils sont venus pour moi.

J'avais 6 ans.

Il s'agissait d'un couple accompagné d'un enfant. Je m'en souviens comme si c'était hier. La femme était très élégant avec sa robe rouge, ses hauts talons et ses longs cheveux sombres. L'homme aussi, avait l'air riche et important dans son beau costume. Ils tenaient par la main un autre enfant, un petit prince, ça se voyait à son allure et à son regard. Il ne nous ressemblait pas.

Et cette famille ne semblait pas ordinaire.

Quand les familles viennent pour regarder, il leur font visiter les lieux et nous, on doit faire semblant de pas les voir. Mais évidemment les regards plein d'espoirs se tournent toujours vers eux, suppliant de les choisir.

Et ils m'ont choisi. Enfin il m'a choisi.

Je jouais seul dans la cour quand il s'est avancé vers moi, me pointant du doigt - ce qui était déjà franchement malpoli.

"J'veux lui, là, le chétif au regard bizarre" avait-il ordonné, impérieux.

Je n'y croyais pas mes oreilles, ni mes yeux. Je ne savais pas quoi dire, ni quoi faire, alors j'ai baissé la tête et j'ai continué à faire semblant de rien.

Et quelques mois plus tard ainsi qu'un bon gros tas de paperasse ( dont quelques billets sans doute ) je me retrouvais catapulté dans la demeure des Blackwood. Une grande famille très ancienne, vivant dans tous le luxe que l'on pouvait imaginer. En tout cas pour moi, j'avais l'impression d'être dans un palais.

Ils m'ont donné mon nom. Bertram Lucian Blackwood. Ils m'ont présenté à tout le monde, papa, maman et mon grand frère Logan. Ils m'ont dit d'être très gentil avec lui. Et lui, et bien... il était content de me voir.

On a joué toute la journée. Et par " jouer" il s'agissait de le laisser faire tout ce qu'il voulait, comme il le disait. Il changeait les règles tout le temps et quand je protestais, il se battait avec moi. Et il avait le dessus. Et il me faisait mal. Et j'avais beau pleurer et crier, il s'en fichait.

Honnêtement, je l'ai détesté ce sale gamin pourri gâté. Cet enfant-roi. Ce capricieux.
La nuit-même il déclara que je devais dormir avec lui. Je n'avais pas le choix. Dans mon pyjama bleu étoilé, je lui servais de peluche, de doudou. Mais la nuit, il était plus doux, plus calme. Je crois qu'il avait peur du noir, comme moi, mais j'avais tort.

La nuit, le tyran basculait et me laissait voir sa face humaine. Il me racontait ses secrets, m’expliquait ses peurs ( notamment sa peur du sang) et je commençais doucement à le comprendre. En fait, derrière ce dictateur cruel se cachait un enfant effrayé. Comme pour tout le monde. Alors, j’ai commencé à avoir pitié de lui. Mais seulement la nuit, car le jour, il me réservait les mêmes tours que d’habitude.

Sauf que désormais je n’avais plus peur du noir.

***

Et la vie continuait. J’essayais parfois d’échapper vainement à son emprise en me cachant dans les cuisines, chez les domestiques qui semblaient m’apprécier et qui ne me considérait pas de la même façon que “ le fils du maître” - mais Logan me retrouvait toujours pour me torturer encore et encore. Bon, je ne devrais pas le nier, il m’arrivait parfois de m’amuser aussi...enfin...parfois.
Les années passèrent et enfin, père et mère décidèrent de prendre les choses en main et de séparer nos lits à Logan et à moi. J’accueillais ce changement avec espoir, même si je restais condamné à dormir dans la même pièce que mon adolescent - et donc abruti - de grand frère.


Cependant une nuit, une nuit dont je me souviendrais toute ma vie, je l’ai senti me rejoindre dans mon lit. Je me suis réveillé, en lui demandant ce qui se passait. Il ne me répondait pas et il faisait trop sombre pour que distingue quoi que ce soit. Par contre la brûlure de ses canines dans ma chair, ça, je l’ai senti intensément. J’ai senti le sang chaud couler sur ma gorge pendant qu’il le suçait avidement et j’ai hurlé de toutes mes forces, pendant que la terreur et la peur de mourir m’envahissait.

Mais je ne suis pas mort.

Je suis devenu ce qu’on appelle un “calice” et aux yeux de père et de mère, c’était probablement ma seule valeur, mon seul destin. Celui d’être de la chair à canon, ou plutôt un buffet à volonté pour mon frère et lui seul. J’étais adopté par une famille de vampire...je n’avais pas d’autre choix. Je plongeais dans le désespoir, et j’acceptais mon rôle, résigné.

Et Logan, de son côté, avait décidé de quitter la maison. Je ne sais pas pourquoi. Je ne lui en voulais pas, c’était mon rôle apparemment, de le servir de cette façon. Désormais, même s’il n’était pas là, je pouvais sentir s’il était triste, heureux ou énervé - terrifié ou assoiffé. Et quand il est parti, je savais ce qu’il ressentait. De la tristesse et de la colère.

Les journées devenaient longues. J’en arrivais parfois à regretter les moments où nous étions enfants et où il me tourmentait toute la journée. Au moins, cela faisait passer le temps...

Il revenait de temps en temps, pour se nourrir notamment. Plus il passait du temps parmi les siens, plus il devenait odieux et hautain. Le fossé se creusait entre nous deux. Entre la proie et le prédateur, le maître et le servant. Il était clair pour moi que je ne faisais pas vraiment partie de la famille, j’avais été un jouet, j’étais devenu un sac de sang - mais surtout je n’avais jamais été son frère.

Et pourtant j’acceptais, je lui donnais ma gorge, je lui donnais mon sang, mon liquide vital. Parce que même si c’était loin d’être une famille parfaite et aimante, c’était la seule famille que j’avais.

***

Seulement je n’étais pas vraiment ordinaire non plus, et cela je le découvrais vers mes 13 ans. Des phénomènes étranges se produisaient autour de moi - semblait-il causés par moi. Père et mère paraissaient surpris, de toute évidence, ils n’avaient pas prévu que je puisse leur être utile d’une autre façon.

J’étais ce qu’on appelle un “holder” un humain modifié. L’étais-je à la naissance de deux parents modifiés ? Ou bien bébé ? Ou bien s’était-ce produit à l’orphelinat. Impossible de le savoir - j’étais juste attaché à un élément et c’est ce dernier qui causait quelques soucis à tout le monde. Alors...père a trouvé quelqu’un pour moi. Quelqu’un qui pourrait m’enseigner comment contrôler ce pouvoir et en faire un meilleur usage ( sans aucun doute, le leur ).

J’avais 13 ans et demi quand j’ai rencontré Lydia - elle en avait 19 et venait de sortir tout juste de son apprentissage.

C’était la fille la plus bizarre que j’ai jamais rencontré. Elle était polie et gentille avec mes parents : en revanche elle m’écrasait de son autorité lorsque nous étions seuls. Je crois qu’elle n’avait pas l’habitude de devoir gérer un “gamin” et elle craignait que sa féminité la desserve. Par conséquent, elle se montrait incroyablement vulgaire avec moi. Mais j’avais connu pire et j’obéissais docilement à mon mentor - que je devais appeler “maître” et non “maîtresse”, elle insistait fortement sur ce point.

Elle m’aidait à faire des progrès et à développer mon don. Bien sûr, elle le faisait pour de l’argent mais au moins j’avais quelqu’un d’autre à qui parler. Quelqu’un comme moi.

Et le temps a passé. Je l’ai admiré, elle et sa maîtrise sans défaut. En grandissant, j’ai remarqué à quel point elle était jolie, mais évidemment il était stupide d’y penser. Lydia agissait toujours comme si j’avais 12 ans et que je m’apprêtais à fomenter une rébellion : constamment sur ses gardes. Et pourtant vers 17 ans, j’étais obligé d’admettre que l’admiration que j’avais éprouvé pour elle plus tôt s’était transformé en un autre sentiment qui n’existait que dans l’intimité de mes rêves et de mes fantaisies.

Et elle ne remarquait pas que je la regardais avec les yeux brillants d’un faon amoureux. Ou elle faisait semblant.

Cependant, elle commença à me traiter en être humain vers la fin de mon apprentissage. Je ne vous dis pas ma joie. Je pouvais discuter avec elle, d’adulte à adulte, en privé, pendant que je perfectionnais mes techniques. Elle était fier de moi et donc, elle était fière d’elle. J’ai commencé à me confier à elle - évidemment je ne disais rien qui aurait pu incriminer les Blackwood d’aucune façon. Mais je crois qu’elle avait perçu que mon mal-être n’était qu’une “ phase”.

” Pourquoi tu ne t’en vas pas ? Tu pourrais tu sais...t’enfuir...loin...“

Elle baissait les yeux, de toute évidence il s’agissait également d’une confession de sa part.

” Je ne peux pas leur tourner le dos...C’est ma famille...et ils… et ils ont besoin de moi... Je...ne leur ferai jamais ça.“

Elle hocha la tête et soupira. Elle comprenait, à contre-coeur. Le lendemain, elle avait disparu. Partie pour une nouvelle aventure sans doute. Au final, je ne lui aurai jamais avoué mes sentiments pour elle.

Bah, ça n’a plus d’importance maintenant.

***

Ravi, père me réservait encore une surprise. Lui qui était à la tête de l’hôpital privé Blackwood, il comptait faire de Logan son successeur - ce n’était pas vraiment une surprise, Père avait sans doute quelque chose de plus important à faire que de gérer sa source de revenu. Ce qui m’étonna en revanche, c’est qu’il avait des plans pour moi. Pour que tout fonctionne, je devais travailler de l’intérieur. Je devais travailler pour Logan.

Je n’avais pas d’autre choix que d’accepter et donc, je commençais les cours à l’école de médecine.

Une nuit, Logan rentra tard à la maison - rien d’inhabituel me direz-vous. Sauf que quelque chose me perturbait. J’avais un mauvais pressentiment. Contrairement aux autres jours, j’attendais nerveusement son retour. Et il rentra, en sang et salement blessé. Il était tombé inconscient sur le sol. J’alertais le personnel  qui s’occupa de le ramasser et de le nettoyer pendant quand j’en informais les parents. J’avais examiné la plaie il était...salement blessé oui. Des séquelles physiques resteraient gravées à jamais sur son visage. J’ai essayé de les soigner, mais mes efforts étaient inutiles.

Et les parents ne s’en préoccupaient pas. Au pire, il étaient contrariés : pour la moquette.

C’est à ce moment là que j’ai compris qu’ils ne se souciaient pas plus de lui. Nous n’étions que leur pions sur leur échiquier. Notre santé, notre bien-être n’avait aucune valeur à leur yeux.

Même leur propre fils, la chair de leur chair...

J’ai regardé Logan dormir un moment. Devrais-je lui dire ? Le savait-il ? Et devrais-je lui demander ce qui c’était passé ?

J’ai choisi de ne rien faire, de ne rien dire

S’il ne savait pas, je le laisserai vivre dans le mensonge, pour son bien. Et s’il le savait...il n’y avait rien à tirer d’une telle conversation. Et si je lui demandais ce qui c’était passé, il me répondrait par une pirouette, sans rien avouer, trop fier.

***

Depuis ce jour-là, Logan n’était plus le même. Il était éteint. Enfin...non...il était toujours aussi vif, stupide et immature. Mais quelque chose s’est éteint en lui. Je le sais.

J’ai décroché mon diplôme d’infirmier, il m’était interdit d’aller plus loin dans ma formation, malgré les recommendations poussées des professeurs qui trouvaient que j’avais énormément de potentiel. Et je suis entré à l’hôpital, sous les ordres de mon frère.

Jusqu’à aujourd’hui.

   
Pouvoirs & Armes

Manipulation de la lumière: Alors vous me demanderez : mais en quoi ça consiste exactement ? Rappelez vous que la lumière constituée d'un ensemble d'onde magnétique. Bertram est donc capable de manipuler ces ondes que ce soit pour créer de la lumière où il n'y en a pas ( la durée varie avec l'intensité : plus la lumière est faible, plus il peut la produire longtemps, à son niveau le plus intense (flash) il ne peut la produire que pendant quelques secondes). Mais il peut également dévier les faisceaux de lumière afin de produire une illusion d'optique semblable à un mirage, ou déformer une surface ( refléter le sol, le ciel, un mur ou un objet sur une autre surface - pas créer une illusion de toute pièce). De la même façon il peut empêcher la lumière de se réfléchir ou d'être absorbée par un objet ou une personne et la rendre invisible ( pas plus de 5 minutes pour une personne, 10 pour un objet).

Rayon apaisant: Accélère moyennement la régénération naturelle des tissus et apaise la douleur de la cible. Il peut aussi guérir les infections.

Satori : La magie c'est super cool, mais parfois il n'y a rien de tel qu'un bon flingue pour se défendre, parce que oui, c'est moins facile de lancer un sort quand on se prend une balle entre les deux yeux. Et il est bien armé: balles normales, balles explosives, balles en argent ( au cas où son frère passe en mode berserk ) balles au curare.... Mais bon ça prend du temps de changer de projectile et les balles en argent ça coûte cher.


Il s'éveillera


Le passe-miroir : Vous connaissez tous l'histoire d'Alice au pays des merveilles ? Bien entendu ! Mais la suite intitulée " De l'autre côté du miroir" ça vous dit quelque chose ?
Bertram ne le sait pas encore, mais il va devenir une vraie petite Alice en herbe ! (Comment ça vous trouvez la comparaison hilarante ? ) Sauf que de l'autre côté, au lieu de trouver des reines rouges assoiffées de sang, des chenilles fumant des substances pas très légales et des champignons magiques et bien... il se trouvera simplement...de l'autre côté du miroir. Sans une âme qui vive dans un décor inversé. La gauche à la place de la droite et la droite à la place de la gauche. Mais ne vous en faîtes pas, au pire il pourra vous observer vous repoudrer le nez, mais pas traverser votre miroir de poche, non...il faut que la surface lui permette de passer quand même ( sans casser le miroir ).



Écran magique

J'aime pas les présentations - je suis trop vieux pour ces conneries -__-" Mais je ne suis pas méchant, enfin je ne mords pas. Je suis super calé en anglais ( d'ailleurs y a une faute dans le titre mais c'est pas grave, le forum reste super sexy 8D et ben non, j'ai dit de la merde. LOL. )(