On peut définir l'homme en trois étapes. Ce qu'il montre. Ce qu'il est. Et ce qu'il cache. Sven, ce qu'il montre, c'est un visage impassible, gravé dans la glace. Sven, c'est l'indifférence. Sven, c'est le calme. Sven, ce sont deux yeux perdus dans le vague de la tristesse et de la mélancolie sur un visage figé par l'ennui. Sven, il garde en permanence un gouffre entre le monde et lui. Sven, il est solitaire. Sven, il est de ceux qui n'aime pas se mêler aux autres, qui est bien mieux seul dans son coin que perdu au milieu de la foule. Sven, ce qu'il est, c'est un volcan. Sven, il est loin de la froideur qu'il affiche. Sven, il est timide. Sven, il est fragile. Sven, il peut exploser à n'importe quel moment. Mais Sven a l'âme en peine. Sven se perd très souvent dans ses souvenirs. Sven est lunatique. Sven change souvent d'humeur, parfois imperceptiblement, parfois d'un extrême à l'autre. Sven, il est de ceux qui disent aimer la solitude, mais qui ne la supporte pas. Sven, ce qu'il cache, c'est un enfant. Sven a beau avoir 17 ans, il est resté un petit garçon. Sven a gardé son innocence, ses rêves si magnifiquement utopiques. Sven a encore l'espoir. Sven cache son besoin le plus vital, celui d'être aimé, choyé, protégé. Sven, il est de ces enfants délaissé par des parents souvent absents, et qui souffre d'un manque d'affection. Sven, c'est celui qui cherche de l'affection, mais qui repousse les autres car celle dont il veut l'affection n'est plus là.

   Biographie

   




Allongé en travers de son lit, la tête renversée  vers le bas, Sven observe sa chambre. C’est fou de voir à quel point le monde change lorsqu’on le regarde à l’envers. Dehors, une fine pluie descend du ciel, reflet de son état d’esprit présent. Il se laisse glisser dans sa mélancolie comme l’on plonge dans  un bain moussant. Avec délectation. Non, il n’est pas spécialement masochiste. S’auto-infliger des souffrances morales, c’est pas son tripe. C’est sa punition. Parce qu’à ses yeux, tout a toujours été de sa faute.

Il sent que le sang lui monte doucement mais sûrement au cerveau. Mais il s’en fout. Il ne bouge pas et reste là, telle une misérable larve. La tête à l’envers, on a beau avoir l’impression que le monde est différent, en réalité il est toujours le même. Sa chambre est semblable à un miroir, elle est le parfait reflet de sa vie. Il jette un coup d’œil paresseux à son réveil.

2h47.

Du matin.

Il n’est pas spécialement fatigué. Il n’a pas envie de dormir. Il va être fatigué demain, c’est sûr. Mais s’il s’endort, avec ses pensées actuelles, il va faire des cauchemars. Il va rêver d’elle. Il va rêver de ce jour. Encore et encore. Et au final, au réveil définitif, il sera aussi fatigué que s’il n’avait pas dormit du tout. Voir pire. Alors il reste éveillé.

Malgré lui, son regard dérive vers la dizaine de cadres photos qui trônent sur sa table de chevet. Ses parents. Sur les 12 photographies, il n’y en a qu’une seule qui les représente. La seules qu’il ai jamais accepté de garder. Elle a été prise le lendemain de sa naissance. Un homme et une femme, serrés l’un contre l’autre, souriants, rayonnants de bonheur, le regard tourné vers un minuscule bébé que la femme tient dans ses bras. Lui. Sven Lukas Torbjørn. A quel moment ? A quel moment ses parents ont-ils cessés de le regarder comme ça ? Avec joie, bonheur, fierté et amour. A quel moment et pourquoi se sont-ils détournés de lui ? Il ne le sait pas. Ne le saura sans doute jamais.

Autre cadre. Autre photo. Celle-ci, c’était la seule représentant ses parents. Sur toutes les autres, il y a lui et elle. Sa grande sœur. Freya. Sven et Freya à la patinoire. Sven et Freya à noël. Sven et Freya endormit dans le même lit. Sven et Freya en train de se faire un gros câlin. Sven et Freya tout simplement heureux.

Il se rappelle de chacun des moments passé avec elle. Elle était tout pour lui. Même s’ils n’avaient qu’un an d’écart, elle était comme sa mère de substitution. C’était elle qui s’occupait de lui quand leurs parents étaient à l’autre bout de la planète, pour un tournage ou un défilé. C’était elle qu’il allait réveillé, la nuit, quand il était terrifié par un cauchemars. C’était elle, elle et encore elle. Toujours. Toujours Freya.

Sven aimait ses parents. Il adorait sa sœur. Mais sa sœur haïssait leurs parents. A l’époque, il ne comprenait pas pourquoi. Pour lui, même s’ils étaient très souvent absents et ne s’occupaient pas toujours d’eux, il n’y avait pas de quoi les détester. Maintenant, il comprenait. Mais pas avant. Et il en a souffert. Il s’en souvient. Ô combien la douleur était cruelle avec lui, à s’amuser à déchirer son petit cœur d’enfant entre sa grande sœur et ses parents, lorsque ceux-ci se disputaient. Il n’aimait pas ça. Il n’aimait pas voir Freya crier avec toute la force de ses poumons sur leurs parents. Il n’aimait pas entendre ses parents leurs parler froidement.

Il a toujours préférer se taire, se faire le plus petit possible dans son coin. Se faire défendre par sa sœur. Freya le protégeait toujours. Elle faisait fuir ceux qui l’embêtaient, les frappait parfois. Freya l’encourageait toujours, à s’affirmer un peu plus, à surmonter son handicap, à combattre sa santé défaillante. Freya faisait tout ça. Freya était tout ça.

Freya était tout.

Était.

Par réflexe, son regard se porte sur la photo la plus haït. Ô combien il hait cette simple image. Si simple, mais qui signifie tellement. Il a essayé tant de fois de s’en débarrassé, pour ne pas avoir à se rappeler de sa signification. Mais il n’a jamais réussi. Au dernier moment, il renonçait et la reposait sur la table de nuit. Parce qu’elle lui permet aussi de se rappeler de sa conviction.

La dernière photo. Sven seul. Sven irrémédiablement seul, habiller du plus triste des noirs, à l’enterrement de Freya. L’enterrement de Freya…

Mû par une soudaine impulsion, il se redresse. Trop vite. Le sang dans sa tête n’a pas le temps de redescendre. Sa chambre bouge sous son regard. Ça fait mal. Migraine. Mais les souvenirs persistent.

Un jour gris de pluie, à l’atmosphère plus lourde que le plomb. Ce jour là, on enterrait Freya. Mais le cercueil était vide. Incontestablement vide. Parce que le fait est que ce jour là, on enterrait non pas un mort, mais une disparue. Et le ciel était gris. Il ne pleuvait pas.

Pourquoi enterrer une personne qui n’est pas morte ? Ca n’a pas de sens n’est-ce pas ? Mais lorsqu’il s’agissait de leurs enfants, les actes de Monsieur et Madame Torbjørn avaient rarement du sens. Sven et Freya s’étaient disputés. C’était rare. Et étrange. Mais pas inexplicable. Sven a grandit après tout, il ne pouvait pas rester un pauvre petit mouton pour le reste de sa vie. Si ? Non. Non, non, non, non, non, NON ! Ah ! Il adorait Freya, mais ô combien pouvait-elle l’agacer lorsqu’elle l’étouffait de son autorité. Elle voulait seulement le protéger. Mais protéger signifie diriger. Et Sven ne désirait pas être éternellement dirigé, fusse-t-il par sa sœur. Alors parfois il éclatait. Leurs disputent éclataient. Parce que Sven n’était pas capable de s’exprimer. Parce que Freya n’était pas capable d’accepter.

Mais ce jour là. Ce jour là. Jusqu’à quel point regrette-t-il ce jour là ? Ce jour là, ce ne fut jamais aussi violent. Et Freya avait finit par partir. Partir. La scène se rejoue une énième fois sous ses yeux. Freya qui s’éloigne. Freya qui claque violemment la porte de la maison. Freya qui part. Et Freya. Qui n’ai jamais revenu. Il n’a pas compris. Pourquoi sa grande sœur ne revenait pas ? Pourquoi ? La question persiste encore aujourd’hui. Pourquoi n’est-elle pas revenu ? Pourquoi ne revient-elle toujours pas ? Il rejette sa mort, de toute ses forces. Sa sœur n’est pas morte. Il en est sûr. Ô combien il s’en est voulu. Combien il s’en veut encore. A ses yeux, c’est de sa faute. Tout est de sa faute. Tout à toujours été de sa faute. N’est-ce pas ? Si Freya a disparue, c’est parce qu’elle est partie. Si elle est partie, c’est parce qu’ils se sont disputés. S’ils se sont disputés, c’est parce qu’il s’est rebellé contre elle.

Si Freya a disparue, c’est parce qu’il s’est rebellé contre elle.

Si Freya a disparue, c’est de sa faute.

Pourquoi l’avoir enterrée si elle a simplement disparue ? N’aurait-il pas été si simple d’appeler la police pour signaler sa disparition ? Ah...

Un sourire désabusé prends place sur son visage. Ses épaules se secouent d’un rire silencieux. Dehors, la bruine c’est transformé en orage. Sven a craqué. Pourquoi ? Parce que les parents font loi. Parce que pour ses parents, Freya n’a pas disparue, elle a fuguée. Si elle a fuguée, alors elle les a rejetée. Et n’a plus besoin d’eux. Mais le déshonneur d’un enfant renié est grand n’est-ce pas ? C’est moche, pour l’image. Alors Freya Ada Torbjørn n’a pas disparue. Elle est morte.

Morte aux yeux de leurs parents.

Pas à ses yeux.

Dehors le tonnerre gronde. La pluie tombe. Et Sven s’est effondré sur son lit, en parfaite imitation de l’étoile de mer. Il a mal. Si mal. Ce jour là, il a compris la haine de sa sœur pour leurs parents. Oh, il ne les hait toujours pas, lui. Il en est incapable. Aussi cruels puissent-ils être, ils restent ses parents. Mais il y a un tel gouffre désormais. Ils sont plus absents que jamais. Et Sven plus seul qu’il ne l’a jamais été. Parce qu’avant il n’était pas seul. Parce qu’avant il avait Freya.

Il a le cœur qui bat la chamade. Il a les souvenirs qui remontent et affluent. Ce soir, c’est soirée souvenir, c’est ça… ? Il a mal. Si mal. Le gouffre creusé entre lui et ses parents n’est rien en comparaison de celui qui à engloutit son cœur dans les ténèbres de la solitude. Que donnerait-il ? Que donnerait-il pour qu’elle soit là, à côté de lui ? Pour qu’elle soit là, à lui caresser gentiment les cheveux, à lui dire de ne pas avoir peur.

Tout.

Oui, tout. Il donnerait tout ce qu’il a pour un peu de chaleur. Pour un peu de Freya.

Un éclair perce le ciel. Il sursaute. Se redresse. Où est-il déjà ? Ah oui…dans sa chambre. Ses souvenirs l’ont emportés si loin d’ici. Comme à chaque fois. Il a soudain envie d’aller chercher son violon et de jouer. Mais il ne le fait pas.  Il ne veut pas réveiller la maison. Il ne veut pas que l’on sache qu’il ne dort toujours pas. Ce n’est pourtant pas la première fois. Il fait souvent des nuits blanches depuis que Freya a disparue. Sa vie a perdue toutes ses couleurs. Pas qu’il n’y en ai jamais eut. Sa vie a toujours été en noir et blanc. C’est ça d’être achromate. Il ne peut pas voir les couleurs.

Noir et blanc.

Tout est noir et blanc. Tout le temps. Sa grande sœur lui décrivait les couleurs. Avant. Six ans depuis la dernière fois qu’on lui a décrit une couleur. L’orage dehors se calme. Il quitte son lit et se dirige vers la fenêtre. De quelle couleur est le ciel ? La plupart des gens répondent bleu. Les plus poétiques répondent rose, orange, rouge. Sven le voit gris. Tristement gris. Quoi qu’il n’y est pas de gris triste pour lui. Qui peut appréhender la tristesse du gris lorsqu’il n’a pas vu la gaieté des couleurs ?

Il tente de chasser la tristesse qui l’habite. Ou au moins la douleur. La tristesse part de temps en temps. La douleur apparait quelques rares fois. La mélancolie de ne le quitte jamais. La tristesse reflue et le ciel cesse de pleurer. Depuis quand est-ce comme ça ? Depuis quand le ciel, la météo répond-t-elle à ses sentiments ? Ah… depuis le même moment où sa force de fillette est devenue celle d’un tractopelle. Depuis le même moment où il peut sauter depuis le balcon sans s’écraser au sol. Depuis que…

Le bruit sourd d’un objet tombant par terre se fait entendre. Il se retourne, et aperçoit une petite statuette, renversée au milieu de sa chambre. Alors qu’elle n’y était pas il y a quelques secondes. Flippant n’est-ce pas ? Mais Sven a cessé de s’en étonner. Il a cessé d’essayer de comprendre pourquoi. Il quitte la fenêtre et s’en approche. Arrivée devant, il la ramasse et revient vers son lit. Le matelas est confortable contre son dos. Mais ce n’est pas ce qui l’intéresse.

Tu sais mon garçon, cette statuette n’est pas comme les autres. Elle est vivante.

C’est ce qu’on lui a dit il y a longtemps. C’est ce que lui a dit le vieil antiquaire, dans le fond de sa boutique, lorsque son regard d’enfant curieux s’était retrouvé irrémédiablement attiré par la petite statuette en pierre. Un sentiment étrange et complexe l’avait envahi. Il s’en était approché, et le vieillard lui avait expliqué. Elle venait de très vieilles ruines, trouvées dans un endroit désert du désert gelé. On la lui avait offerte. Et quand il l’avait saisi entre ses petites mains, tout était devenu noir. Et il y avait eut une autre voix.

Mais il ne se souvenait pas de ce qu’elle lui avait dit. Il l’entendait parfois, dans ses rêves, il le savait. Mais ne se souvenait jamais d’elle. Ni son timbre, ni les mots qu’elle lui adressait. Il avait juste la certitude étrange, au fond de lui, que cette voix appartenait à un homme. Et que cet homme le protégerait. Comme l’avait protégé Freya.

Statuette, étrange statuette. Dis-lui. Sais-tu où est Freya ? Dis-lui. Qu’es-tu véritablement ? Dis-lui. Qui est cette personne qui lui parle dans son sommeil ? Mais la statuette de dit rien. Une statuette ne parle pas n’est-ce pas ? Il soupire avant de poser la statuette sur sa table de nuit. Parmi les cadres de photographies.

Allongé en travers de son lit, la tête renversée  vers le bas, Sven observe sa chambre. C’est fou de voir à quel point le monde change lorsqu’on le regarde à l’envers. Dehors, une fine pluie descend du ciel, reflet de son état d’esprit présent. Il se laisse glisser dans sa mélancolie comme l’on plonge dans  un bain moussant. Avec délectation. Non, il n’est pas spécialement masochiste. S’auto-infliger des souffrances morales, c’est pas son tripe. C’est sa punition. Parce qu’à ses yeux, tout a toujours été de sa faute.

Il sent que le sang lui monte doucement mais sûrement au cerveau. Mais il s’en fout. Il ne bouge pas et reste là, telle une misérable larve. La tête à l’envers, on a beau avoir l’impression que le monde est différent, en réalité il est toujours le même. Sa chambre est semblable à un miroir, elle est le parfait reflet de sa vie. Il jette un coup d’œil paresseux à son réveil.

4h21.

Du matin.

Et il n’a toujours pas sommeil.



   
Pouvoirs & Armes

Contrôle de la météo ∞ Sven, il est le pire ennemi de Miss Météo. Parce qu'il peut dérégler complètement le temps qu'il fait dehors. Transformer un ciel bleu en averse torrentielle, il peut. Faire neiger en plein été, il peut. Bon, le plus souvent, le changement météorologique est pas vraiment voulu. Le temps réagit tout bêtement à ses émotions. Il est heureux, le soleil brille et il fait chaud. Il est triste, il pleut des cordes. Il est stressé, c'est limite la tornade dehors. Il se sent trop seul, il neige. Il est excité ou impatient, le ciel se colore d'arc-en-ciel. Toussa toussa. Bon, y a les effets secondaire aussi. Du genre de s'évanouir d'un coup parce qu'il est trop fatigué. Se payer des migraines incroyables aussi. Mais bon avouez. Faire tomber la foudre quand on est vénère, c'est badass.

Force surhumaine ∞ Sven, il est le pire ennemi des culturistes. Parce que malgré son 1m62 et sa carrure de danseuse étoile, il a aucun problème à te soulever une voiture à bout de bras. No problem bro'. C'est parfois très pratique. Jor quand on te fais chier. Mais des fois, ça l'est pas du tout. Parce que casser 4 doigts à quelqu'un juste en lui serrant la main, ça le fais pas. Il essaye de contrôler, mais c'est pas gagné. Vraiment pas.

Voler ∞ Sven, il est le pire ennemi des aviateurs. Parce que lui,  il a pas besoin d'avion ou de planeur pour voler dans le ciel. Tout est dans la volonté. C'est bien la seule chose qu'il maîtrise à la perfection d'ailleurs. Quand il veut quitter la terre ferme, il la quitte. Quand il veut garder les pieds sur terre, il les garde. Pas de mauvaises surprises, pas de bug de pouvoir ou de non contrôle. Tout est parfaitement maîtrisé. Sauf quand il est malade. Là par contre, impossible de dire si ça ne va pas finir par déraper.

Contrôle de l'électricité ∞ Il permet, comme son nom l'indique, de contrôler l'électricité. Ça à l'air bien dit comme ça, mais dans les faits, Sven peut tout juste allumer une ampoule. Lorsque tout va bien. Parce qu'il lui arrive de perdre le contrôle de ce pouvoir et dans ce cas là, il y a de très forte chance que les appareils électriques aux alentours...grillent. Voir des personnes, si vous êtes au mauvais endroit au mauvais moment. Et dans ces moments-là, il n'est pas rare de voir des arc d'électricité se former autour de lui. De part ce pouvoir, Sven peut mettre les doigts dans une prise électrique et s'en sortir indemne. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde donc ne faites pas ça à la maison.

Mjollnir ∞ La première chose qu'a fait Thor en se réveillant, outre casser la gueule de celle qui a presque tué psychologiquement son hôte, c'est aller chercher son très cher et bien-aimé marteau. Divin certes, mais un marteau reste un marteau. Une arme peu commune c'est vrai -qui a déjà vu quelqu'un se battre avec un marteau ?-, mais qui est très bien dressée revient toujours à la main de son porteur lorsque celui-ci l'appelle. En outres, il ne répond qu'à Thor et ne peut être manié que par lui. Il se présente sous la forme d'un marteau commun, bien que son manche soit relativement court et que sa tête soit gravée de runes.


Il s'éveillera

Drain ∞ Sven, il en a pas encore conscience, mais il est capable de voler l’énergie des personnes ou des objets pour restaurer la sienne. Il lui suffit d’un simple contact physique et hop ! Lui il pète la forme, et toi tu te sens étrangement et brusquement fatigué. C'est vachement pratique pour récupérer son énergie après avoir abusé de ses autres pouvoirs. Il est un peu lent d'esprit, il a pas encore compris pourquoi, bordel de merde, il se sentait étrangement mieux quand il touchait sa télé -elle est maaaaaaaaaaagique-. Mais bon, il va bien finir par comprendre un jour. Les rps sont là pour ça.


Écran magique

Helloooooooooo~ Moi c'est Zephy, mais tu peux aussi m'appeler Sven. J'ai 18 ans (Pourquoi ?! Pourquoi ??!! Je veux rester jeune et enfant moi!!) et toutes mes dents. J'ai atterrit ici après que quelqu'un que j'aime beaucoup m'ai refilé le lien. J'aime beaucoup le fo'. L'esthétique est sobre, classe et magnifique. Quand au contexte, il est...chelou, complexe, original et magique. En un mot, badass. Et dans le règlement, j'ai trouvé une phrase bizarre qui disait .