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Aleksei Von Lyovitch -

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MessageSujet: Aleksei Von Lyovitch - Aleksei Von Lyovitch -  EmptyJeu 14 Mai 2015 - 21:06




Aleksei Von Lyovitch
« I'm the only thing I'm afraid of. »
Je m'appelle Aleksei Von Lyovitch. Je ne saurais vous confesser mon âge véritable, tandis que certains me diraient avoir une 20aines d'années. Et comment pourrais-je démentir, si longtemps que j'erre en ces terres, traînant la vieille Ancestrale que je suis. Bien des plaisirs m'ont été donnés durant ces nombreuses années, et c'est ainsi dépourvue de préférence que je laisse hommes et femmes se glisser sous mes draps. Pour autant que passion et sensualité se mélangent, c'est en peinture et poésie que j'exprime la vivacité des émotions, devenue artiste depuis maintes années.
L’ombre, si vaste. Tu t’y perds constamment, et c’est pourtant là que tu vis. Que tu es née, que tu mourras. Seule, si seule. La solitude même t’a bercée. Tu t’y fais, malgré tes larmes, ton manque. L’écho de ton être résonne, encore et toujours, sans fin. Unique bruit environnant, le cœur de l’entendement. Taciturne, tu observes le monde, d’un œil sans faille, sans tolérance. Vide, tellement vide. La lumière ne t’est pas conseillée. Elle te brûlerait les yeux. Et pourtant, cette fascination que tu as, pour la pureté d’un blanc immaculé.

La folie, ta plus fidèle amie. Elle te conseille, te protège. Elle qui est le fruit de ton esprit, perverti par les ténèbres. Tu entends sa voix. Elle te murmure de douces paroles. Te charme, te veux. T’en veux. Muette quand tu aurais besoin d’elle. Omniprésente quand le poids de l’ombre te surpasse. Tu aimerais connaître ce qu’est la raison, la logique. Pas la dépression dans laquelle tu baignes. Ton esprit est atteint, infecté. Ton instabilité mentale, surpassant l’entendement. Ton esprit n’est que ténèbres, prisonnier des glaces.

Le silence, ton armistice. Le repos que la noirceur t’accorde. Se reflète en toi. Inexpressive, en permanence. On ne peut plus taciturne. Tu ne t’exprimes pas. Reste des heures, muette, sans mot dire. Tu ne veux pas t’exprimer. Révéler tes secrets ? Jamais. Tu es connue, vue de partout, et pourtant si mystérieuse. Une énigme, cachée derrière un masque de fumée. Une poudre noire sur les yeux, paillettes scintillantes. Tu es crainte, tu es icône. L’image des ténèbres, la représentation de l’ombre, du silence.

La sagesse, celle qui te permet de rester fréquentable. Te permet de comprendre ton prochain, faire la part des choses. Si l’ombre n’avait pas été présente, tu aurais été une bonne personne. Si ton cœur n’était pas aussi noir que la noirceur. Si ton âme n’était pas empoisonnée. Tu serais quelqu’un de bien, à n’en jamais douter. Maturité qui emplit ton être, l’expérience des années qui te permet de maîtriser les ténèbres. Un peu plus. À chaque instant. Tu vis depuis la vie. Tu as mûrie. Tu as évoluée, et grandis. Au fond. Tu es aimable.

La manipulation, ta meilleure amie. Ton héroïne. Tu ne peux t'en passer, t'en libérer. Une partie de toi, ton essence même. Jamais on ne te refuse quoi que ce soit, jamais on ne te barre la route. Aucunes limites imposées. Une issue de secours, quand il n'y en a plus, ta dernière chance lorsque tout semble perdue. Un jeu, à tes yeux, un loisir à l'intérêt certain. La séduction rajoutant une touche de piment à tes amusements. Ta voix feutrée, ton rire cristallin. Tu attires alors que tu devrais terrifier.

L'autorité, ton porte parole, ton drapeau. Tu connais le sens des responsabilités, tu connais les risques et les erreurs commises. Tu te souviens de ces erreurs qui t'ont coûté bien plus que la vie. Tu sais te battre, tu as été contrainte d'apprendre. Tu es fière, fière de ce que tu es, et tu le fais ressentir. Une aura supérieure, quelque chose qu'on ne peux contester.

La peine, ta faiblesse. Tes souvenirs, réanimant tes peurs les plus profondes. Tu pleures silencieusement, certaines personnes, certains instants. Tu le caches, tu es distante, directe et franche. Tu attaques là où ça fait mal, dans l'espoir que ta propre douleur s'estompe. Tu te meurs face à cette plaie béante sur ta cage thoracique, brûlante, acide. Au fond de toi réside une grande peine, un feu fumant.



×××



Mais il y a une autre facette de sa personne qu'il faut connaître. Lorsque la belle présente une carence, un manque. Lorsqu'elle ne s'est pas assez abreuvée, il y des risques à prendre en compte. Le risque d'une crise. Le risque d'un massacre. Elle perd tout contrôle, et devient la prédatrice la plus dangereuse au monde. Une machine à tuer, un monstre. Si vous la croisée, et qu'elle vous regarde, de ses yeux rouges cramoisie, sans lueur, la seule chose à faire pour vous est d'accepter votre mort imminente. Douloureuse, lente, la plus atroce.

Ce qu'elle aime ? La calme. Les endroits paisibles. Elle aime la neige, plus que tout. Elle se sent bien, sous une tonne de pulls, sous un ciel enneigé, avec une température plus que négative. Elle appréciera également d'être devant un bon feu de cheminé, à bouquiner, à écouter de la musique, en buvant une bonne tasse de sang frais. Elle aime également la Cité Désertique -même si Terraria reste la ville qu'elle affectionne le plus. Elle aime marcher sur les grands avenues, passer devant les grandes enseignes lumineuse, bondées de monde, sentir le sang frais, à porter de crocs. Si elle pouvait avoir un don, elle choisirait celui de l'invisibilité. Pouvoir regarder le monde évoluer, sans être vue. Il faut savoir qu'Aleksei à un vice, le sang humain. Tombée dans la dépravation, elle passe son temps à la recherche d'un sang plus délicieux que le précédent, ou à envoûter un pauvre humain, qui eu le malheur d'être un peu trop délicieux.

Elle s'est longtemps laissé aller à sa nature vraie, tuant sans vergogne, sans pitié, des dizaines d'humains innocents. Séduisant et manipulant pour son propre intérêt, ne pensant qu'à sa personne. Elle avait même finit par se faire une réputation, en Russie. On la surnomma la veuve, la veuve noire. Discrète, mais ne laissant pas de deuxième chance. Pendant des centaines d'années, les corps s'entassèrent, les crimes s’enchaînèrent, et la culpabilité survint. Laissant ensuite place au doute, et au remise en question. Elle tenta alors de se battre pour son humanité. Réduisant considérablement ses victimes, elle continua tout de même à se nourrir de sang humain, ne supportant pas le sang animal. Elle sera une personne digne de confiance, si elle vous estime un minimum.

Les années lui ont accordées clémence et compréhension. Quand bien même jeune, elle reste désormais plus tolérante au monde, moins meurtrière. On peut dire qu'elle trouva son salue dans l'art, et l'expression d'elle-même.


Le passé, le présent. Le futur. Notions qui n’ont été que bien trop étrangères à mon égard. Ma façon de penser. Ma façon de vivre cette existence. Je me souviens encore du jours où les Dieux me créèrent. Nue, plus innocente qu’un enfant. Dans la neige. Il ne s’écoula que très peu de temps avant que je ne découvre que l’endroit où je demeurais s’appelait la Cité du Nord. Vaste étendue de neige, peuplée d’humains passant leurs journées à boire, se battre, et jouir de la vie entre deux conflits.

Peu m’importait, je n’étais pas ici pour rien, je n’avais pas le temps pour quelconques divagations et autres fantasmes que me provoquait cette civilisation. Accomplissant avec rigueur l’emploi que l’on m’avait légué, les années passèrent, lentement. Hiver après hiver, neige laissant place aux paysages verdoyants du printemps, se laissant à nouveau parsemés d’une couche de gel cristallin. Et ainsi de suite. L’ennui omniprésent dans ce rôle de garde plus que décevant, je finis malheureusement par tomber nez à nez avec celui que j’appellerais par la suite « la naïveté ».

Jeune, blond. Venant de cette ville nommée Terraria. James Harington. Il venait de loin, et ne prévoyait aucunement de s’éterniser dans le « tas de glace molle » que lui inspirait l’ancien village dans lequel je vivais. Un soir, cigarettes fumantes et musiques décadentes, j’entrais dans le pub le plus proche de mes appartements, en recherche de la moindre distraction nouvelle. Il était là. Il était à moi. Si la vie n’avait pas faite de moi une vierge, je n’avais pourtant jusque alors pas connu nombreux amants. Celui-ci, n’avait rien en rapport avec ces prédécesseurs.  Je ne fus cependant pas la raison qui le ferait rester. Il jura, genoux à terre. « Je ne vous oublierai pas, disait-il, ma chère et tendre, je vous le promet. ». Ne fléchissant guère aux pavoisements du jeune homme, je n’éprouvais ni tristesse, ni manque. Je n’étais pas ce genre de femme, toutes larmes dès émanations de sentiments.

Les années confinèrent à passer, plus doucement que jamais. Je fus témoin de la disparition de grandes familles. Je fus témoin de bien des pêchers. De grands hommes s’effondrèrent à mes pieds, certains partirent sommeil durant. Et les guerres reprirent, plus sanglantes et meurtrières que jamais. Je devais admettre avoir passé la période de découverte si spéciale. L’émerveillement du nouveau, l’acquisition de fraîches connaissances. J’avais pour ainsi dire prit la décision de partir. Voyager, explorer. Apprendre de nouveau.

Et il revint. Plus élégant et fier que je ne l’avais connu. Plus âgé, moins naïf. La nuit ne laissa guère de repos, ni de répit à nos pauvres êtres emmêlés. Corps brûlants de sueur, suffoquant de chaleur. Une fois encore, il n’avait pas pour projet de s’éterniser, cependant qu’il me laissa perplexe, le matin venu. « Pars avec moi. Il n’y a rien pour toi ici, une femme comme toi ne devrait pas être cachée dans de si sinistres contrées. » Me pensait-il attachée à cet endroit ?

Je le suivis sans regret. Je n’avais jamais vu autre chose que froid et terrain aride, non pas que j’en aurais été tentée. Le voyage fut accompagné de bien des délices, nombre incroyable de réjouissances pour les individus m’accompagnant, dit « de la classe supérieure ». Serrant la main de -à mon sens, bien trop de personne, j’étais désormais sur ce qu’ils appelaient la cité Terrestre. Climat plus clément, villes plus modernes, population plus vivante. Je n’en aurais pas tant accordée à une personne telle que moi. Ils n’auraient pas du non plus.

Il fut-un temps où James prévoyais de faire de moi sa femme. Dessinant de grands projets, projetant de fonder une famille. Malheureusement, je ne serais jamais ce genre de femme. Les mois passèrent, mes pensées changèrent.

Doucement, mes meurtres et victimes se multiplièrent. Précédemment surnommée dans le Grand Nord, le dit pseudonyme ne mit guère de temps à me rattraper, aussi loin fus-je partie. La veuve noire. L’ombre grimpante. La femme sans visage. Qui aurait cru que l’investigateur premier nommé pour ce dossier, aurait été mon cher et tendre James. Comme vous le soupçonné si bien, il ne mit que très peu de temps avant de trouver d’irréfutable preuve de ma culpabilité.

Je fus contrainte de le tuer.

Je ne pouvais bien évidemment pas me permettre de rester dans un lieu où je demeurais publiquement et activement recherchée. Je disparue donc au Sud, le plus au Sud possible, quelque part entre le fond du désert de sable chaud, et la ferraille du grand phare. La cité désertique. Et n’eut de cesse de voyager, silencieusement. Longeant murs et ruelles, passant d’ombre en ombre.
Nightmare - Permet de faire confronter la cible à ses pires peurs dans une illusion, peut importe forme, taille, couleur, et même monde. La concentration est d'or, la vision est d'onyx. Il y a néanmoins un bémol. À trop enfoncer ces ennemis au plus profond des ténèbres et du désespoir, on y bascule doucement. Plus l'utilisation de ce pouvoir est récurrente, plus l'ombre s’éprend de son utilisateur. Ainsi, il m'est devenu aisé de faire apparaître mes peurs, mes démons, mes horreurs. Moins évident de les surpasser. Là est le prix à payer pour jouer avec la flamme noire de l'horreur sous-jacente du monde de l'invisible. À noter que les illusions ne peuvent durer qu'un certain laps de temps, ne pouvant dépasser les 3 minutes. Il faut un temps proportionnel à l'utilisation, plus ou moins le double, pour se remettre et l'employer à nouveau, sans engendrer de conséquences désastreuses.

Faceless- Les Dieux n'auraient laissées créatures telle que moi, dans ce monde, sans capacité passible de nous épargner. En ce qui me concerne, je possède le don de changer d'apparence. Non pas à l'infinie, non pas librement. Je ne possède que deux apparences.
Tout d'abord, une femme aux cheveux noirs, longs. Une peau laiteuse, blanc maladif, et un corps plus qu'osseux. Des yeux d'un rouge grenat, scintillant en toute circonstance. Quiconque sain d'esprit m'aurait désignée en vampire.
Puis vient mon apparence secondaire. Une crinière dorée, flamboyante au soleil. Une peau halée, presque bronzée. Un regard émeraude, variant de l'anis aux feuilles de marronniers. Une apparence portant bien moins aux suspicions.
Reste-il que je ne l'emploie guère à ma guise. Tentée que j'aurais une moindre préférence pour l'une ou l'autre, je ne peux me nourrir qu'en étant l'effrayante brune, tandis que je suis apte à me battre sous les deux apparences. Il faut également savoir que la fréquence de mes métamorphoses se doit d'être régulière, auquel cas il deviendra plus difficile, ou même impossible, de redevenir la douce blonde.

Kickass- Se battre et se défendre sont et resteront des fondamentaux de nos civilisations. Il ne serait guère judicieux de ma part de nommer ceci un pouvoir, toute fois, je reste particulièrement habile en combat à main nue, au corps à corps, parfaitement capable de tuer un homme sans arme aucune. Accomplissant enchaînements et escalades, et bien sûr capable de tenir une course poursuite. Éventrer au besoin, gorge arrachée au plaisir. I'm kind of a beast.

ICE- In Case of Emergency. You know. Je ne suis pas Wonder Woman, je peux échouer. Et mourir. C'est là que ma petite lame entre en jeu. Elle n'a rien de vraiment spéciale, juste imprégnée de quelconque venin, et bien évidemment je sais particulièrement bien la manier. Cette petite m'a sauvée la vie à bien des reprises.
Prénom : Rose.
Âge : 20 ans.
Sexe : Tout le temps. ♀.
Blabla : Je vis à Londres, donc H-1 de Paris.
Feat.

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    [b]Original[/b] de [i]Takenaka[/i] est Aleksei Von Lyovitch.
    [b]Hana[/b] de [i]dCTb[/i] est Aleksei Von Lyovitch.

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